Baptisé "l'ange de la mort", Alfredo Astiz est accusé, avec 18 autres militaires, de crimes commis dans les sinistres bâtiments de l'Ecole mécanique de la marine (ESMA), le plus grand centre clandestin de torture, en pleine capitale. Près de 5 000 prisonniers politiques y ont été torturés et tués. Seule une centaine a survécu.