après un appel de l’UGTT[96] visant à défendre le droit pour les ouvriers tunisiens à bénéficier d’un salaire minimum ; elle conduit à la prise de contrôle de points stratégiques dont la gare et le port. Le lendemain, les forces de l’ordre ouvrent le feu, faisant 26 morts et plusieurs dizaines de blessés